jeudi 6 avril 2017

La prière de la sérénité ...



Ma Pimprenelle chérie, comme le temps a passé !

Et quand je lis mon dernier article, je suis particulièrement  satisfaite de l'évolution de ta vie.

Tu es une jeune femme maintenant. Ai-je encore des choses à t'appendre ? Peut être, sûrement même puisque - à mon âge - j'apprends encore !

J'ai mes maximes principales, adaptées aux circonstances, mais la phrase qui gouverne ma vie est la suivante :

" Mon Dieu
Donne moi le Courage de changer
les choses que je peux changer,

La Sérénité d'accepter
celles que je ne peux pas  changer

Et la Sagesse
de distinguer entre les deux."

Tout est dit  ... Quel programme !

Je médite encore souvent sur ces phrases. Car il m’arrive encore  de chercher mon chemin, de chercher la bonne attitude à avoir. 

Je te les offre comme un trésor, comme un phare qui éclairera ton chemin dans les moments de doute.

Je te renouvelle l'assurance de mon amour infini pour toi et me remerciements pour le merveilleux moments que nous avons passés ensemble.

Ta Cookies.


lundi 9 février 2015

L'amour ...









Coucou ma Julie,

Je pense t'avoir dit, il y a quelques  temps, que je trouvais qu'une relation amoureuse n'était pas si facile à ses débuts ... Je continue à le penser.

Quand on rencontre une personne pur laquelle on éprouve ce merveilleux sentiment, cette offrande, cette grâce, il y a , assez rapidement, de nombreux paramètres à analyser ensuite car c'est tellement facile de tomber amoureux ... Mais ce n'est pas tout, il faut que cela puisse durer. Et là, brusquement, la raison doit entrer en action, même si l'on n'en a pas envie,  car il vaut mieux bâtir sur du solide ... C'est un grand investissement, un profond investissement que d'aimer. Cela peut vous combler ou vous mettre en miettes.

J'aime toujours aller voir les articles de Wikipedia qui sont très souvent une source de réflexions et d’approfondissement. Je te donne également un lien de citations qui m'amusent, m’énervent, me font rire, m'émeuvent.  Tiens, voici un autre lien. Je suis désolée qu'il y ait d'ailleurs si peu de femmes qui s'expriment ...

Moi, j'aime l'amour heureux, pas celui qui tourmente, pas celui qui fait mal ou qui empêche de dormir. Figure toi que moi aussi, avec mon amoureux que tu connais bien, j'ai vécu l'amour qui fait mal. Je me tourmentais trop, je n'étais pas assez sûre de moi, j'avais trop peur de le perdre ! Et je me suis guérie et bien guérie car c'est vraiment affreux de souffrir bêtement. Nul n'est maître de demain, on peut juste essayer de vivre bien le moment présent. 

Chaque relation entre deux êtres amoureux est totalement personnelle, personne ne peut aider vraiment, conseiller vraiment, même si on essaie. Parce que chaque jour nous façonne, et l'un et l'autre, parce que nous avons un passé où nous n'étions pas ensemble et parce que nous avons un caractère ... Mais on peut essayer d'aider.




Je ne sais pas grand chose, ma chérie, je sais seulement que la vie n'est pas si facile que cela, qu'il y a des épreuves auxquelles nous ne nous attendons pas, que nous avons des personnes autour de nous à aimer, à chérir et que, surtout, surtout, je ne veux pas que quelque chose me pèse en dehors de ce que je ne peux pas éviter. Ni ne bride mon espace de  liberté : donc, pas de cigarettes, pas d'amant et même pas d'alcool !!! Et pas de dispute, pas de malentendu. Je ne supporte pas.

Alors, sérieusement, ma Princesse, il faut se parler, dire ce que l'on ressent. Dire clairement ce que l'on n'accepte pas. Il y a le respect, l'indispensable solidarité. Un couple, cela ne se divise pas, c'est solidaire, totalement solidaire et cela ne cherche qu'à se faire plaisir l'un l'autre.

Et je sais aussi que si l'on a un devoir, c'est celui d'être heureux, aussi heureux que possible, aujourd'hui, là, maintenant. Et qu'aimer c'est aussi être en paix, serein. Je ne crois pas aux amours tourmentées et "tourmentantes" (tiens, je viens d'inventer un mot !).

L'amour-fusion, c'est épuisant ; on peut le vivre peut-être au début mais chacun doit pouvoir respirer, avoir ses amis et ses occupations. On doit se réjouir de ce qui rend l'autre heureux. lui fait plaisir. C'est aussi une question de confiance en soi et en l'autre. Et sans cette confiance, rien n'est possible, rien n'est solide. Car le chagrin effrite les sentiments et nous mène au découragement.

Donc, se parler, s'expliquer, s'écouter l'un l'autre. Mais ne pas se heurter indéfiniment aux mêmes problèmes. L'amour est une grande chance à ne pas gâcher. 

Mais voilà, il faut harmoniser la relation et je te souhaite tout le bonheur possible ma chérie, de tout mon cœur. Et, surtout, surtout, ne reste pas seule si tu as un doute. Tu as la chance d'avoir autour de toi, des "femmes qui savent", qui t'aiment et te soutiendront et te guideront de tout leur cœur si tu en as besoin, Et, finalement, je crois qu'on en a toutes toujours besoin.

Vive l'amour qui nous fait battre le cœur, vive les femmes !

Je te fais des millions de gros bisous. 
Ta Cookies


dimanche 26 octobre 2014

Femmes qui courent avec les loups ...






Ma chérie, tu es peut être bien jeune pour que je t'offre ce livre, mais mieux vaut trop tôt que trop tard ...

J'ai constaté sans trop de surprise les réactions des messieurs, à table, hier. Non, ce livre n'est pas féministe. Il est écrit par une femme avec du cœur et de l'expérience qu'elle  offre aux autres femmes. Pour leur rappeler la lignée de tant de femmes qui coulent dans leurs veine, qu'elles sont fortes, les aider, leur expliquer. J'aurais bien aimé le découvrir avant ...

Je te mets un lien sur lequel tu liras les commentaires relativement à la critique de ce livre :


De même que le lien sur mon blog quand j'en ai parlé :


Tu vois, je croyais quand même que je n'avais plus grand chose à apprendre ... Or, depuis la mort de mon frère, une grosse boule de colère m'empêchait de respirer normalement. Il s'agissait de pardonner. Le pardon, je connais, j'ai toujours dit à mes enfants : voyagez léger, passez votre chemin, la personne qui vous a fait du mal en recevra tôt ou tard les conséquences mais ne perdez pas votre temps et votre énergie. Et, véritablement, je n'ai personne à qui je n'ai pas offert mon pardon, tout autant que j'espère que si j'ai blessé une personne celle-ci m'a également pardonnée.  Donc, quand j'avais lu le passage concernant le pardon dans ce livre,  je n'en avais fait aucun cas.

Mais hier, soir, je l'ai retrouvé ce passage et j'ai pu constater - une fois de plus - combien la sagesse de cette femme est grande. Et je m'en suis moins voulu de la difficulté que j'ai à pardonner et j'ai également constaté que le fait d'y aller par pallier, comme je le fais depuis quelques mois, est la bonne solution. 

Je n'ai pas eu la chance d'avoir auprès de moi, une loba pleine de cicatrices, une qui savait. Une qui m'aurait expliqué et avec laquelle j'aurais fini par rire de ce qui me semblait, sur le moment, si grave ... Cette femme, je l'avais en Côte d'Ivoire mais je l'ai quittée quand j'avais trente ans et même si j'ai communiqué avec elle par téléphone, ce n'était pas assez. Elle a cependant été un exemple de sagesse et de générosité et j'ai toujours espéré lui prouver qu'elle m'avait beaucoup appris en étant digne d'elle.

Un homme est un homme, une femme une femme. C'est tout. Nous sommes différents - et tant mieux - nous avons nos qualités et nos défauts et ils sont tout autant  différents. Le chagrin ou l'interrogation d'une femme ne peuvent être vraiment compris que par une autre femme. Ce n'est pas compliqué à comprendre.  Et ce n'est pas faire injure à l’homme que l'on aime. La plupart du temps, ils sont vraiment nuls pour nous consoler. 
Alors, au début, on ne comprend pas bien pourquoi notre chéri tant aimé ne sait pas trouver les mots, c'est tout juste si on ne l'ennuie pas. En fait, on l'ennuie ! Hahaha ! Et si on pleure, alors là ... Alors là, on finit par consoler notre chéri ! Non, il vaut mieux appeler  Maman, ou Coco ou une autre qui nous expliquera. Je pense que c'est une question d'hormones ? Mais cela n'a rien à voir avec l'amour.

Je t'embrasse très fort ma Julie,

Cookies








samedi 25 octobre 2014

Oh, là, là !





Voilà, ça y est, Julie est amoureuse, Julie est passée de l'autre côté ...







Tout d'abord, j'aimerais te dire que nous apprécions ton chéri. Je te voie calme et tranquille et cela me rassure.
Pourquoi cela me rassure ? Parce que l'amour, surtout au début, est souvent difficile. On souffre bêtement parce que l'on pense que l'autre ne nous a pas compris, ou qu'une réaction ne nous plaît pas. On se pose des questions. Bref, on est bête !

Dans tous les cas, l'important est de parler, de ne rien garder sur le cœur, de ne rien imaginer, de ne pas se faire un cinéma qui nous fait souffrir. 

Quelque chose ne nous plaît pas ? On le dit. On ne comprend pas quelque chose, on le dit, on parle, on ne reste pas dans son coin à imaginer je ne sais quoi et à se mettre le cœur en miettes.

Mais tu me paraît très douée pour le bonheur ma chérie et l’important c'est de le rester.

Il n'y a pas dans de choses dramatiques dans la vie. Une seule est irrémédiable, c'est la mort. 

Ce qui m'arrivera, ce qui nous arrivera à tous. Mais de cela on reparlera plus tard.

Pour l'instant, je suis heureuse de ton bonheur, ton chéri est beau en plus d'être courageux. C'est le temps de tous les possibles, le ciel est toujours bleu. Profite en !

Je vais tout gâcher, je le sais, mais je t'en supplie, arrête de fumer, snif !

Je t'aime et je t'embrasse très très fort.

Ta Cookies.

jeudi 1 mai 2014

La grande année ...



Cet article a été écrit l'année dernière, avant ton anniversaire mais je le poste seulement aujourd'hui.


Coucou ma Pimprenelle !

Nous voilà en 2013. Une grande année ... Tu en auras d'autres dont nous ne pouvons imaginer la date, qui seront de grands points de repère dans ta vie.

Mais celle ci est prévisible, attendue. Espérée par toi. Crainte, je le pense, par ta maman qui va voir sa plus jeune enfant quitter le foyer familial. C'est la vie : l'espoir des uns, l'acceptation des autres.

Pour moi, c'est également, le constat d'une étape mais j'en au vécu déjà d'autres. Ma Julie a commencé à prendre son envol dès ses 12 ans. Mais j'ai accumulé tant de souvenirs, précieusement, que j'ai de quoi réchauffer mon cœur. Car, en plus des souvenirs que nous partageons en commun, il y a tous ceux dont tu ne te souviens pas car tu étais trop petite.

Donc, dans moins d'un mois maintenant, nous te souhaiterons tes 18 ans. Que vas-tu ressentir au fond de toi ? Tu me le diras ... peut-être ...

Là, dans l'immédiat, tu vas passer deux semaines seule en Allemagne. Seule et libre. Tu verras déjà que parfois la liberté est synonyme de solitude. Mais nous ne sommes pas loin. Nous ne serons jamais loin ma chérie.

Et ensuite, cela sera le grand saut, le grand passages: Oxford.

Ou, je pense que tu te souviendras de l'année de tes 18 ans ...

Alors maintenant je vais te parler de mes "aides". De mes trucs quand cela ne va pas. Ben oui, quand même, cela m'arrive...

Alors j'ai la prière. Mais entendons nous bien, je prie tous les jours. Et si j'ai un problème je prie sur le moment. J'ai mes objets fétiches : ceux qui sont dans mon sac, ceux qui sont à côté de mon lit. D'autres encore. J'ai mes phrases dont je t'ai parlé dans un autre article. Et je pleure un bon coup. Bon, ça ce n'est pas très original, c'est vraiment le truc de nana !

Finalement, avec l'expérience, je peux te dire que laisser passer une nuit sur un chagrin, sur un problème, est une très bonne chose. Cela va déjà mieux le lendemain.

Et enfin, je crois que je suis douée pour le bonheur. J'ai envie d'être heureuse, de profiter de tous ceux que j'aime. Et j'ai mon amoureux. Bon, un amoureux c'est pas toujours terrible pour consoler... Un homme n'accorde pas la même importance que nous à ce qui peut nous peiner. Mais il est là celui que j'aime alors il est mon trésor. Parfois je ne lui dis pas, pfff, les messieurs n'ont pas toujours la patience qu'on aimerait, mais je me mets contre lui. Ça aide !

Je suis fière, je n'ai pas envie de parler de mes problèmes à mes copines. Et pas envie d'ennuyer mes enfants. C'est moi la maman, c'est moi qui doit consoler ...

J'ai mes livres, les poèmes que j'aime. Tiens, un petit livre mais qui a été une extraordinaire leçon de vie pour moi ( et pour tant d'autres ...) : l'alchimiste. Lis le ma chérie et tu ne l'oublieras pas, et il fera partie des grands médicaments anti-chagrins. Il n'est pas long, il est magique.

J'ai ma peinture, mes couleurs. Faire un savon est aussi une bonne thérapie ...

Bon, je t'en ai dit déjà beaucoup aujourd'hui ...

De gros bisous d'amour 

Et maintenant dix neuf !


Coucou ma Julie !

Alors, tu les as eu tes dix huit ans ! Tu en rêvais depuis des années et 2013 a été pour toi une année que tu n'oublieras pas ...

D'abord la soirée de ton anniversaire. Tu étais tellement jolie et tellement heureuse !

Et tout qui s'est enchaîné : ton permis de conduire, ta voiture, la réussite de ton examen de maturité, ton départ pour Oxford, c'est à dire, ta première expérience de vie loin de ta famille.




Évidemment, cela fait partie de ta vie privée et ce que tu as pu éprouver lors de cette expérience reste en grande partie ton secret.

Mais tu as réussi ton examen. C'est une heureuse habitude chez toi ...

Cependant, il faut que je parle de mon échec à moi : tu fumes ! Pourtant, je m'y étais prise bien à l'avance ...

(source de l'image)

Bon, tu es tombée dans la nicotine, je te fais confiance pour en sortir. C'est difficile mais je sais que tu y parviendras c'est que tu auras pris la décision.

Papou a été malade, j'ai été malade, Tonton nous a quittés ... La vie passe ma Julie et c'est ainsi. Nul ne connaît le jour ni l'heure, c'est pour cela qu'il faut profiter de ceux que l'on aime, de leur dire et le leur prouver.

Je vais revenir très bientôt pour un autre article.

Je t'embrasse aussi fort que je t'aime.






lundi 1 octobre 2012

Déjà si longtemps !






Déjà si longtemps, ma Julie, que je n'ai rien posté ici !

Le temps passe, les habitudes changent ... puisque la vie change.

Je ne vais plus te chercher à la sortie de l'école. Tu prends le bus désormais et depuis pas mal de temps.

Je t'ai transmis l'adresse de mon blog à moi mais je ne sais pas si tu as eu le temps d'aller le voir. Je te donne de nouveau le lien :


Il t'en dira aussi peut-être pas mal sur ce que j'aime, ce qui me touche, ce qui m'intéresse.

Pour en revenir à toi, qui est la destinataire de ce que j'écris ici, nous voilà maintenant avec une Julie qui sera majeure dans quelques mois. Qui aura donc sa voiture. Sa maturité. Et qui va s'envoler ...




Quelle Coco cela n'inquiéterait-il pas ?

Mais, le temps sera venu. Et qu'espérer alors pour cette liberté qui t'ouvrira les bras ? Que tu aies tout compris de ce que j'ai souhaité te dire. Que tu t'en souviennes le moment venu. Que tu ne souffres pas trop. Parce que, Julie, tu souffriras, c'est la loi des êtres humains. Parce que le premier grand amour pointera le bout de son nez. C'est bien normal.



Alors, ma chérie, prends bien soin de toi. N'oublie pas que personne ne peut te faire de mal sans ton consentement. C'est important.

N'oublie pas que point trop de folies il ne faut faire - même pour un bel amour -

Je sais bien que ce qui doit être sera.

Alors, il te reste à te souvenir encore et toujours que ta Cookies est là. Pour rire avec toi, pour essuyer tes larmes s'il le faut, pour t'aider, t'appuyer, te consoler, te conseiller. 

Ma chérie, je vais sérieusement penser aux thèmes que je vais te poster, de façon détaillée, pour ce futur qui approche a grands pas.

Avec tout mon amour.

samedi 4 décembre 2010

Mon blog à moi !

Ma chérie,

Je te donne l'adresse de mon nouveau blog à moi, rien qu'à moi !

Gros bisous de ta

Coco

lundi 28 juin 2010

Coucou ma petite chérie !

Parfois dans la vie quand le sol est un peu glissant … si tu vois ce que je veux dire, il est bon de se raccrocher à ses petites “fondamentaux” personnels.


J’en ai plusieurs ! Le premier est “Je maintiendrai”. Oui, quoiqu’il arrive, je maintiendrai  mon but, ma décision, je continuerai dans la voie que j’avais décidée.
ICI, l’histoire de cette devise que je te résume “Je maintiendrai l'honneur, la foy, la loi de Dieu, du Roy, de mes amis et moy.”


 



Source de l’image


Oui, c’est bien beau mais … mais on ne peut pas toujours jouer les Don Quichotte ! Alors, devant une impossibilité, des obstacles qui m’empêchent de “maintenir”, je passe au suivant qui est : “Fais ce que tu dois, advienne que pourra”. Bien, oui, à l’impossible nul n’est tenu et il faut savoir s’incliner devant la force du destin. L’important est que j’ai – en pleine conscience et de toutes mes forces – fait le maximum pour me respecter, pour respecter mes règles de vie et devant des impondérables que je ne peux vaincre et que je n’imaginais pas, je m’incline.
Mais parfois, zut de zut, cela ne suffit pas encore !
La catastrophe que j’ai essayé d’éviter, que j’ai fait tout mon possible pour éviter est là !







Source de l’image



Dans ce cas, il me reste ma troisième devise, celle des cas désespérés : “Demain est un autre jour” !



Il faut que tu saches que cette phrase vient d’un film que j’adore, que j’ai vu un nombre incalculable de fois et que je reverrai toute la vie avec autant de joie et qui s’appelle – en français  - “Autant en emporte le vent”. Gone with the wind dans la version originale.
Chaque fois que l’héroïne fort sympathique mais avec un caractère tout aussi fort, se trouve en situation désespérée (trois fois je crois dans le film elle prononce cette phrase et c’est d’ailleurs la dernière du film).
Voilà, ma pimprenelle. De quoi te raccrocher aux branches – si nécessaire – en trouvant tes propres devises !

Avec plein d’énormes bisous de ta Coco.